Malgré l'attention portée par Jung aux dangers de la polarisation unilatérale, y compris concernant sa théorie des archétypes, son abord de l'archétype de l'enfant s'en est tenu à une seule polarité: divine. Nous envisagerons l'existence de son pole opposé, diabolique, et explorerons les conséquences possibles de son maintien dans l'ombre.